Coenonympha glycerion
Coenonympha glycerion (Borkhausen, 1788) : le Fadet de la mélique, l'Iphis
Ce fadet est un hôte des prairies naturelles de basse à moyenne altitude, dans le quart nord-est de la France, les Alpes et l'est des Pyrénées.
Il se distingue du très commun C. pamphilus par la présence sous l'aile postérieure d'une série d'ocelles pupillés et d'une tache irrégulière blanc pur. Toutefois, selon les régions le nombre et la taille des ocelles sont très variables et ont amené à la description de plusieurs sous-espèces. Dans les Alpes, la sous-espèce bertolis n'a aucun ocelle, ce qui la fait ressembler à C. pamphilus. A l'opposé, dans les Pyrénées la sous-espèce pseudoamyntas a une série complète de gros ocelles pupillés, et la marge est soulignée d'un bande orangée très nette. Cette bande peut être présente dans d'autres populations, mais plus discrète. Ces papillons des Pyrénées pourraient être une espèce distincte.
Les formes à nombreux ocelles ressemblent fortement à une autres espèce du genre, C. tullia. Dans les très rares biotopes tourbeux où ce dernier est potentiellement présent, il se distingue par un dessin blanc grisâtre sous l'aile postérieure qui atteint la côte, et la présence d'un ou plusieurs ocelles sous l'apex de l'aile antérieure, soulignés d'un trait clair. Chez C. glycerion, il n'y a pas d'ocelle apical, ou extrêmement réduit.
Comme touls les Coenonympha, C. glycerion ferme les ailes dès qu'il est posé, et il est quasiment impossible d'observer le recto sur un individu vivant et libre.
Ce fadet est un hôte des prairies naturelles de basse à moyenne altitude, dans le quart nord-est de la France, les Alpes et l'est des Pyrénées.
Il se distingue du très commun C. pamphilus par la présence sous l'aile postérieure d'une série d'ocelles pupillés et d'une tache irrégulière blanc pur. Toutefois, selon les régions le nombre et la taille des ocelles sont très variables et ont amené à la description de plusieurs sous-espèces. Dans les Alpes, la sous-espèce bertolis n'a aucun ocelle, ce qui la fait ressembler à C. pamphilus. A l'opposé, dans les Pyrénées la sous-espèce pseudoamyntas a une série complète de gros ocelles pupillés, et la marge est soulignée d'un bande orangée très nette. Cette bande peut être présente dans d'autres populations, mais plus discrète. Ces papillons des Pyrénées pourraient être une espèce distincte.
Les formes à nombreux ocelles ressemblent fortement à une autres espèce du genre, C. tullia. Dans les très rares biotopes tourbeux où ce dernier est potentiellement présent, il se distingue par un dessin blanc grisâtre sous l'aile postérieure qui atteint la côte, et la présence d'un ou plusieurs ocelles sous l'apex de l'aile antérieure, soulignés d'un trait clair. Chez C. glycerion, il n'y a pas d'ocelle apical, ou extrêmement réduit.
Comme touls les Coenonympha, C. glycerion ferme les ailes dès qu'il est posé, et il est quasiment impossible d'observer le recto sur un individu vivant et libre.